Pépites de sucre d'érable

Comment intégrer les pépites de sucre d’érable dans votre cuisine ?

Ces pépites croquantes, douces et naturelles s’utilisent comme une cassonade, dans les yaourts, les salades de fruits ou sur les tartes où elles apportent une texture craquante et délicate. Elles sont aussi parfaites pour caraméliser des endives, des coquilles Saint-Jacques et les plats sucrés-salés. Tout simplement exceptionnelles.

Quelques idées recettes pour cuisiner avec les pépites de sucre d’érable

• - Cookies aux pépites de sucre d'érable : ajoutez les pépites de sucre d'érable à votre recette de cookies préférée pour une touche canadienne ;
• - Pancakes ou crêpes à l'érable : saupoudrez les pépites de sucre d'érable sur vos pancakes ou crêpes chauds juste avant de les servir. Lorsqu'elles fondent légèrement, elles créent une garniture sucrée et croustillante ;
• - Granola maison : ajoutez les pépites de sucre d'érable à votre mélange de granola maison avant de le faire griller au four ;
• - Muffins à l'érable : intégrez les pépites de sucre d'érable dans la pâte à muffins avant de les cuire pour des muffins moelleux avec une touche de sucré d'érable ;
• - Barres énergétiques maison : mélangez les pépites de sucre d'érable avec des noix, des graines et des fruits secs pour créer des barres énergétiques maison.

Les arômes délicats des pépites de sucre d’érable

Leur saveur distincte est riche, complexe et chaleureuse, et présente des notes de caramel et de vanille qui se marient harmonieusement avec les nuances boisées caractéristiques de l'érable. Lorsqu'elles fondent dans la bouche, elles libèrent un arôme réconfortant qui évoque les douces journées d'automne et les cabanes à sucre pittoresques.

La production du sucre d’érable

Le « sucre du pays » est fabriqué à partir de la sève d’érable, qui est récoltée sur l’érable à sucre dès l’arrivée du printemps jusqu’au début de l’été, dans les forêts canadiennes et particulièrement dans la province de Québec, sa mère productrice. Le sucre d’érable de Plessisville a subi une lente transformation dans la plus pure tradition amérindienne. La sève coule au printemps lorsque les érables ont encore les pieds chaussés de neige. Entaillé sur 3 cm de profondeur, le tronc offre son eau qui est recueillie dans un seau. Acheminée vers la cabane à sucre, au cœur de l’érablière, cette eau est portée à ébullition et se transforme en sirop, puis s’épaissit et devient le sucre d’érable.

La légende du sucre d’érable

Une légende indienne nous raconte son histoire. Ceci se passe au commencement du printemps. Une vieille femme Micmac alla ramasser la sève des érables. Elle en mit dans un pot qu’elle plaça au-dessus de son feu de tipi. Fatiguée, elle alla s’étendre pour se reposer. Lorsqu’elle se réveilla, elle trouva un sirop clair, doré et sucré.