Gomasio à la bretonne

Dans quels plats utiliser le gomasio à la bretonne ?

La Bretagne à saupoudrer sur vos préparations : salades, sablés, cakes, soupes de poissons, faites marcher votre imagination et revisitez vos classiques !

Nos idées recettes pour utiliser le gomasio à la bretonne dans vos cuisines

• - Saumon grillé au sirop d’érable : saupoudrez le Gomasio à la bretonne sur le saumon juste avant de servir pour ajouter de la saveur et de la texture.
  • - Tartinade de pois chiches à la bretonne : dans le bol d’un mixeur, mélangez des pois chiches cuits, de l'ail, du jus de citron, du tahini, et un peu d'huile d'olive jusqu'à obtenir une consistance lisse. Ajoutez une généreuse pincée de Gomasio à la bretonne et mélangez bien à la cuillère et servez ! (Voir la recette complète sur notre blog).
    
    • - Poisson en papillote aux légumes d'été : placez des filets de poisson blanc sur des feuilles de papier sulfurisé, ajoutez des tranches de tomates, des rondelles de courgettes et quelques rondelles d'oignon rouge sur le poisson et saupoudrez le tout avec du Gomasio à la bretonne et un filet d'huile d'olive. (Voir la recette complète sur notre blog).
      
      • - Poke bowl aux saveurs bretonnes : avant de servir votre poke maison, saupoudrez généreusement de Gomasio à la bretonne sur le dessus.
      
      

      Les arômes iodés du gomasio à la bretonne

      Le gomasio à la bretonne offre une palette d'arômes complexes et équilibrés. Les graines de sésame, qu'elles soient noires, dorées ou blanches, apportent des notes riches et légèrement grillées, tandis que le sarrasin torréfié ajoute une profondeur de saveur avec ses arômes de noix toastées. La fleur de sel complète l'ensemble avec une touche délicate de salinité, tandis que les algues bretonnes apportent une fraîcheur iodée rappelant la mer.

      
      

      Le gomasio à la bretonne et ses ingrédients

      Les graines de sésame, qu'elles soient noires, dorées ou blanches, proviennent de la plante Sesamum indicum et sont riches en nutriments tels que le calcium, le fer et les acides gras insaturés. Le sarrasin torréfié, issu de la plante Fagopyrum esculentum, est une pseudo-céréale qui offre une texture croquante et des saveurs de noix toastées. La fleur de sel de Guérande, récoltée à la main dans les marais salants de la région, est un produit naturellement riche en minéraux et en oligo-éléments. Enfin, les algues bretonnes, provenant des côtes de Bretagne, telles que le nori ou le dulse, sont des algues marines riches en vitamines, minéraux et antioxydants, ajoutant une touche salée et iodée caractéristique à cet assemblage.

      
      

      Le lien qui unit la cuisine japonaise à la Bretagne

      Il existe un lien historique entre la cuisine japonaise et la Bretagne, bien que souvent méconnu. Ce lien remonte au 17ème siècle, lorsque des marins bretons naviguaient sur les mers du globe, y compris vers les côtes du Japon. Pendant ces voyages, des échanges culturels ont eu lieu, notamment dans le domaine culinaire. Une des connexions les plus notables réside dans l'utilisation commune des algues dans la cuisine. Tant au Japon qu'en Bretagne, les algues sont une ressource alimentaire importante, utilisée pour leur saveur unique et leur richesse en nutriments. Bien que les types d'algues utilisées puissent varier, cette similitude dans l'utilisation des algues témoigne des échanges culturels entre les deux régions. De plus, certains plats de fruits de mer et de poissons peuvent également présenter des similitudes, bien que de manière plus subtile, en raison de la tradition maritime partagée entre la Bretagne et le Japon. Ainsi, bien que les cuisines japonaise et bretonne puissent sembler très différentes à première vue, il existe des points de convergence historiques, en particulier dans l'utilisation des ingrédients locaux, tels que les algues, et dans les influences des échanges culturels maritimes.